Nul n’ignore encore les idylles bonifaciennes du frais lieutenant Bonaparte, Napoléon Ier en devenir. Participant à l’expédition de Sardaigne de 1793, il tomba sous le charme d’une jeune beauté bonifacienne, du nom d’Emma Poggioli. D’effleurements chastes des doigts autour du bénitier à l’église, componction au salon de musique, l’idylle fut écourtée par la vie militaire.  Mais Napoléon ne manqua pas d’offrir, en gage de ses sentiments, le fameux collier de corail rouge à sa belle.

Le corail protège son possesseur, calme les émotions et rétablit la paix intérieure.

En Chine antique, les coraux étaient symbole de richesse et d’un statut social élevé. Quant aux Indiens d’Amérique, ils considèrent le corail comme une pierre sacrée ; il symbolise « l’énergie de la force vitale » et porte-bonheur.

Aujourd’hui, la coraliculture permet de cultiver les coraux tout en protégeant les fonds marins. En effet, les premières fermes sont apparues au tout début du XXIe siècle à Bali et Java puis par les Fidji.

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